La Forge a l'orée du boisé

Spyky Arriva au Chante Clair par un beau matin ensoleiller emmitoufler sur une fourrure Noire scintillant.  Tenant sous sont épaule un objet envelopper dans une couverte.
Il s'Approcha de la forge qui semblais être éteint depuis un bon moment.

Il regarda autour de lui pour voir si il y avait pas eu trace de vie du Forgerons Nain depuis le début de l'hivers mais la neige récente n'Avait laissé aucune trace apparente pouvant l'aider.  Sa première idée fut d'aller cogner a la porte des bâtiment pour y demander signe de vie mais n'y voyant pas de lumière a l’intérieur ni de mouvement par les fenêtres Spyky hésita puis alla s’asseoir sous le toit a l'une des table.

Le Prêtre dormant dans la maison ouvrit les yeux en entendant les coups. Il se redressa péniblement en se massant les tempes, un terrible mal de crane s’ajoutant à sa gueule de bois. Il était à peine revenu hier soir de son voyage en Hubertbourg pour faire un rapport à l’Alpha sur la situation et devait déjà repartir le lendemain pour rencontrer les Ducs Manwee et Maki-Maki. Mais les Lycans n’allaient pas le laisser s’en tirer à si bon compte. La veille, ils avaient délibérés des actions à prendre au printemps, et en avaient ensuite profitaient pour ouvrir quelques bouteilles et se saouler copieusement, entrainant le Prêtre dans la partie.

Vorzan se leva tant bien que mal dans la Sombre Étoffe et enjamba ses compagnons endormis. Le Seigneur Maki-Maki lui avait donné la permission d’héberger les Lycans dans l'echoppe lorsque lui-même était absent, ce que la Meute semblait bien apprécier. Mais en tant que Sénéchal de la Maison du Linceul, il se devait d’écouter toutes demandes faites à son Seigneur, ce qui expliquait son pas titubant vers la sortie malgré sa mine affreuse et sa bouche pâteuse.

Arrivant devant la Porte, il l’entrebâillât et sortie la tête a l’extérieur, ses yeux fatigués guettant de droite et de gauche qui avait bien pu le réveiller par cette matinée.

Spyky Agroupiez sur la table fixant le vide de la façade de la maison de Maki, aperçue le visage familier de son bon vielle amis. La queue battant l’air il envoya des signes de mains pour se faire remarquer.

Lâchant un cri joie. Il se releva. A peu maladroitement.