Conclusion Juillet 119
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Conclusion Juillet 119
Arkadiamédiéval : Conclusion de Juillet 119
La rébellion contre l’Empire a atteint son point critique.
En effet, lorsque l’Empire envoya quelques de ses soldats et officiers de la compagnie du dragon rouge sous les ordres de l’Archiduc De Fer, la population de Wolfencrow se tenue plutôt tranquille. Il fut même révélé que le capitaine Furgor n’était pas celui qui fut tué dans le comté de Witcher’s Den, mais que ce fut plutôt un sosie envoyé pour accompagner l’avant-garde pour se faire passer pour lui. Cette pratique de déception est une stratégie courante de l’armée impériale.
Toujours est t’il que le fait qu’une nouvelle gouverneure soit nommée attira beaucoup de voyageurs et de curieux en Wolfencrow et ce, pour des raisons plus ou moins honnêtes. Une ligue de héros vit aussi le jour, visant d’étendre la réputation des aventuriers les plus téméraires.
Le fanatisme des officiers impériaux dépêchés sur les lieux était palpable et ceux identifiés comme traitres furent marqués au fer rouge avec la mention TRAITORIS (traître). Ceux qui osèrent se lever contre le courroux impérial reçurent aussi la marque.
De plus, certains rebelles ont même contribués pour que Icha, le chef des druides qui a débuté la rébellion, soit tué. Son père fit tout en son pouvoir pour reprendre la rébellion en main, mais les loups-garous qu’Icha avait relâchés sur Wolfencrow devinrent hors de contrôle et massacrèrent quelques habitants avant de trouver finalement la mort.
En toute évidence, les rebelles n’étaient pas tous unis et le mouvement de rébellion en devint énormément fragilisé, ce qui laissa place aux impériaux de pouvoir s’incruster d’avantage dans les différentes sphères du village. Cependant, les membres de la famille Strauss se sentirent trahis par leurs alliés impériaux, car ceux-ci n’avaient pas respecté une des partie du traité que l’Empire avait fait avec la Gaborie, sous prétexte que le village était semi-indépendant et donc, par le fait même, dans une zone grise.
Malgré tout ceci, Wolfgang en avait assez des rebelles et des loups-garous et utilisa de son influence pour aider finalement l’Empire. Les maisons impériales avaient aussi ramassé assez d’influence pour mettre un poids dans la balance en prévision de la guerre qui était inévitable. Lorsque les forces rebelles, sous le commandement du père d’Icha, décidèrent finalement d’affronter l’Empire, ils durent faire face aux soldats impériaux qui furent beaucoup plus nombreux qu’eux.
L’Empire fut donc victorieux et mis main basse sur le village de Wolfencrow, une bonne fois pour toute et sans ambigüité. Wolfgang décida de se retirer de ses fonctions administratives du village et décida de s’ajuster afin d’établir un comptoir commercial pour faire profiter l’Union Marchande de Gaborie. Il débuta aussi les préparatifs pour retourner dans le Nord en prévoyant quitter vers la fin du mois d’Août.
Le destin de Wolfencrow n’était donc plus entre les mains des descendants de ses fondateurs et il restait beaucoup à faire pour que l’ordre puisse vraiment régner.
La charogne n’a toujours pas empoisonné le corbeau…
La rébellion contre l’Empire a atteint son point critique.
En effet, lorsque l’Empire envoya quelques de ses soldats et officiers de la compagnie du dragon rouge sous les ordres de l’Archiduc De Fer, la population de Wolfencrow se tenue plutôt tranquille. Il fut même révélé que le capitaine Furgor n’était pas celui qui fut tué dans le comté de Witcher’s Den, mais que ce fut plutôt un sosie envoyé pour accompagner l’avant-garde pour se faire passer pour lui. Cette pratique de déception est une stratégie courante de l’armée impériale.
Toujours est t’il que le fait qu’une nouvelle gouverneure soit nommée attira beaucoup de voyageurs et de curieux en Wolfencrow et ce, pour des raisons plus ou moins honnêtes. Une ligue de héros vit aussi le jour, visant d’étendre la réputation des aventuriers les plus téméraires.
Le fanatisme des officiers impériaux dépêchés sur les lieux était palpable et ceux identifiés comme traitres furent marqués au fer rouge avec la mention TRAITORIS (traître). Ceux qui osèrent se lever contre le courroux impérial reçurent aussi la marque.
De plus, certains rebelles ont même contribués pour que Icha, le chef des druides qui a débuté la rébellion, soit tué. Son père fit tout en son pouvoir pour reprendre la rébellion en main, mais les loups-garous qu’Icha avait relâchés sur Wolfencrow devinrent hors de contrôle et massacrèrent quelques habitants avant de trouver finalement la mort.
En toute évidence, les rebelles n’étaient pas tous unis et le mouvement de rébellion en devint énormément fragilisé, ce qui laissa place aux impériaux de pouvoir s’incruster d’avantage dans les différentes sphères du village. Cependant, les membres de la famille Strauss se sentirent trahis par leurs alliés impériaux, car ceux-ci n’avaient pas respecté une des partie du traité que l’Empire avait fait avec la Gaborie, sous prétexte que le village était semi-indépendant et donc, par le fait même, dans une zone grise.
Malgré tout ceci, Wolfgang en avait assez des rebelles et des loups-garous et utilisa de son influence pour aider finalement l’Empire. Les maisons impériales avaient aussi ramassé assez d’influence pour mettre un poids dans la balance en prévision de la guerre qui était inévitable. Lorsque les forces rebelles, sous le commandement du père d’Icha, décidèrent finalement d’affronter l’Empire, ils durent faire face aux soldats impériaux qui furent beaucoup plus nombreux qu’eux.
L’Empire fut donc victorieux et mis main basse sur le village de Wolfencrow, une bonne fois pour toute et sans ambigüité. Wolfgang décida de se retirer de ses fonctions administratives du village et décida de s’ajuster afin d’établir un comptoir commercial pour faire profiter l’Union Marchande de Gaborie. Il débuta aussi les préparatifs pour retourner dans le Nord en prévoyant quitter vers la fin du mois d’Août.
Le destin de Wolfencrow n’était donc plus entre les mains des descendants de ses fondateurs et il restait beaucoup à faire pour que l’ordre puisse vraiment régner.
La charogne n’a toujours pas empoisonné le corbeau…
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